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Les Chauds Sept du Père Morel

 

Le jazz des Roaring Twenties !

 

Quatrième orchestre « rugissant »
de Jean-Pierre Morel, voir … ICI
Photos à Saint-Jean-de-Braye…ICI

 

 

Pour Les Chaussettes, comprenez « Hot Seven », Jean-Pierre Morel (cornet & arrangeur) a réuni :

les compagnons de toujours,

Bernard Thévin (piano)

Spécialiste de Jelly Roll Morton

Marc Bresdin (saxophone basse)

Ce sera le premier saxophone basse de notre saison 4. Le deuxième sera le hongrois Attila Korb.

François Fournet (banjo)

Nous l’avons déjà entendu à la guitare avec Blues de Paris.

 

et les nouveaux venus,

Stéphane Gillot (clarinette, saxo alto)

Dirige les Red Hot Reed Warmers, un orchestre qui joue à la manière de celui de Jimmie Noone et où l’on rerouve Aurélie Tropez que nous avons déjà entendue avec Big Band Trio.

Pierre Reboud (trombone)

Dirige à Nancy Le Grand Jazz de la Rue Sigisbert

Laurence Bridard (batterie)

Professeure de batterie.
Une des rares à utiliser de nos jours un Tom Chinoischinese_tom

 

 

 

 

 

 

Les Roaring Twenties

   Louise Brooks

Louise Brooks

une « flapper » avec une coiffure…moderne ?

Jean-Pierre Morel, très bon cornet, est aussi un arrangeur infatigable qui s’inspire du jazz des années 20. Aussi bien du jazz de la Nouvelle Orléans que celui de Chicago ou celui de New-York.

Jean-Pierre Morel est resté attaché à ces années 20 et il faut dire qu’elles étaient attachantes :

Les avions arrêtent de faire la guerre, ils font de la voltige et traversent l’atlantique.

Les automobiles se démocratisent.

T Model

 

 

 

 

Hemingway trouve que « Paris est une fête ».

L’électricité arrive à Salbris (F-41) en 1928. Django Reinhardt s’y mariera en 1943 soit 15 ans plus tard, ce sera à nouveau la guerre !

On peut prendre les ascenseurs seul, sans liftier. Agatha Christie en profitera en 1926 au Pera Palace d’Istanboul.

Et surtout le jazz jouera sa partition dans ce concert de modernités. Notamment Louis Armstrong et son Hot Seven, orchestre qui n’exista qu’au studio pour graver des disques car on savait, enfin, enregistrer la musique !

 

Pierre INGRIN, Responsable Artistique de du blues 0′ swing